Le blog de Puteaux-Aïkido | Jap’assion


Jap’assion

La culture c’est aussi l’été au musée Guimet

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L’art de Rosanjin, Génie de la cuisine japonaise
Du 3 juillet au 9 septembre 2013
Tsutsugaki – Textiles indigo du Japon
Du 10 juillet au 7 octobre 2013
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Du 3 juillet au 9 septembre 2013

Plusieurs scènes de présentation des arts de la table seront traitées au travers de l’OEuvre de l’artiste Rosanjin Kitaoji (1883-1959)

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Du 10 juillet au 7 octobre 2013

Une trentaine de textiles tsutsugakijaponais issus d’une collection privée au Japon

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Présentation du Fipam

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Le FIPAM est une association à but non lucratif, crée par Thierry Plée (directeur de BUDO Editions), dont l’objectif est de préserver la mémoire et la culture des arts martiaux.


Il a les projets suivants:

– Collecter des archives et des objets quelles que soient leur époque.

– Création d’un Musée des arts martiaux.

– Partager le savoir par l’organisation de colloques.

– Transmettre la connaissance via un centre d’enseignement.

– Aider les anciens professeurs par un soutien humain et matériel.

– Publication d’un bulletin de nos activités.

 

Vous pouvez voir leu site à cette adresse :

Web: www.fipam.org

 

Egalement sur Twitter et Facebook

Twitter: http://twitter.com/#!/FIPAMparis

Facebook: http://www.facebook.com/pages/Fonds-International-pour-la-Pr%C3%A9servation-des-Arts-Martiaux/178623415514900

 

Bonne chance a eux.

SANKAI JUKU au théâtre de la ville du 2 au 11 mai 2013

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USHIO AMAGATSU CHORÉGRAPHE
SANKAI JUKU CIE

UMUSUNA (2012)  création

 

Mémoires d’avant l’Histoire

 Unestu-Delahaye6

 

TRANSE DOUCE ET MÉTAMORPHOSE
Au-delà de sa silhouette talquée, de son crâne rasé, reproduits à l’identique par ses danseurs tous masculins, les mises en scène de Ushio Amagatsu avec Sankai Juku sont autant de rituels aiguisés, au sein desquels une gestuelle fluide et chargée possède l’impact d’une bombe à irradiation lente. Une transe douce, celle de la métamorphose permanente des corps reliés au vivant dans sa dimension la plus large.

 

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Quartier lointain – Jirô Taniguchi

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Présentation de l’éditeur

Ce jour d’avril 1998, un homme s’apprête à prendre le train pour rentrer chez lui, à Tôkyô. Il s’appelle Hiroshi. C’est un cadre d’entreprise comme le Japon en produit des milliers. La bouche légèrement pâteuse et la tête lourde – il a encore trop bu la veille lors d’un repas d’affaires –, cet homme de 48 ans a rendez-vous avec son destin. Car le train qu’il prend n’est pas le bon : sans l’avoir fait exprès, il se retrouve à bord d’un express qui se dirige tout droit vers sa ville natale. À l’arrivée, avant de repartir à destination de Tôkyô, Hiroshi décide de faire un tour dans les rues où il a grandi, devenues méconnaissables. Dans le petit cimetière où est enterrée sa mère, il s’assoupit quelques minutes. Mais à son réveil, il constate avec une surprise mêlée d’effroi qu’il vient d’effectuer un bond dans le passé. Il se trouve en effet projeté à l’époque de son adolescence, et doit désormais vivre dans l’enveloppe corporelle qui était la sienne à l’âge de 14 ans. ! Mais ses souvenirs, sa mémoire et ses capacités intellectuelles sont restés ceux d’un homme de 48 ans… Hiroshi va alors revoir ses parents et ses amis d’école. Et bien qu’il craigne de bousculer sa propre histoire d’homme adulte et de « fausser l’avenir », il décide de comprendre enfin pourquoi son père est parti un jour loin de chez lui, abandonnant sa femme et ses deux enfants. En revivant ses quatorze ans, il ne va pas seulement épater ses copains en leur prédisant les événements à venir. Plus fondamentalement, il va tenter d’infléchir le cours de son histoire familiale et découvrir que « l’enfant que nous avons été est toujours là, bien vivant tout au fond de nous… ». Coûte que coûte, il décide d’empêcher son père de disparaître de la vie familiale…

 

             

Biographie de l’auteur

Jirô Taniguchi est né le 12 août 1947 à Tottori. Il débute dans la bande dessinée en 1970 avec Un Été desséché. De 1976 à 1979, il publie, avec le scénariste Natsuo Sekikawa, Ville sans défense, Le Vent d’ouest est blanc et Lindo 3. Puis ils s’attaquent, toujours ensemble, aux cinq volumes d’Au temps de Botchan. À partir de 1991, Jirô Taniguchi signe seul de nombreux albums, dont L’Homme qui marche, Le Journal de mon père, Quartier Lointain ou encore Terre de rêve, publiés par Casterman. En 2004 paraît L’Orme du Caucase, un recueil de nouvelles adaptées de l’œuvre de Ryûchirô Utsumi. L’Homme de la toundra, son nouvel opus, sort dans la collection Sakka en 2006.
Le premier volume de Quartier Lointain a remporté, lors du Festival d’Angoulême 2003, l’Alph’Art du meilleur scénario. Il a également reçu le prix Canal BD des librairies spécialisées.

Un cri d’amour au centre du monde – Kyoichi Katayama

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Qu’advient-il de l’amour quand l’être aimé disparaît ?
Sakutaro et Aki se rencontrent au collège dans une ville de province du Japon. Leur relation évolue de l’amitié à l’amour lorsqu’ils se retrouvent ensemble au lycée. En classe de première, Aki tombe malade. Atteinte de leucémie, elle sera emportée en quelques semaines.
Sakutaro se souvient de leur premier baiser, de leurs rendez-vous amoureux, du pèlerinage en Australie entrepris en sa mémoire. Quel sens donner à sa souffrance ? Comment pourrait-il aimer à nouveau ?

Puissant et pudique à la fois, le roman de Kyoichi Katayama est devenu au Japon un véritable phénomène de société, le plus grand best-seller de tous les temps, adapté au cinéma, et sous forme de manga.

Arrachez les bourgeons, tirez sur les enfants – Ôé Kenzaburô

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Quatrième de couverture

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des enfants d’une maison de correction fuient les bombardements et se réfugient dans un village de montagne. Leur éducateur les place sous l’autorité d’un maire convaincu qu’un mauvais enfant doit être supprimé «dès le bourgeon». Le jeune narrateur et son petit frère font partie de ce groupe de délinquants bientôt à la merci des villageois haineux, qui les contraignent à enterrer des animaux victimes d’une épidémie. Quand trois personnes meurent, contaminées, les villageois, pris de panique, abandonnent le village en y enfermant les enfants, qui prennent possession des maisons désertées et esquissent même les règles d’une vie en société. Temps suspendu, unique dans cette histoire de bruit et de fureur, où s’expriment les douceurs de la fraternité et les joies d’un premier amour. Malgré la présence d’un jeune Coréen et d’un soldat déserteur qui tentent de les aider, l’affrontement avec les villageois de retour ne pourra être évité.Cette impressionnante fable sociale écrite en 1958 appartient à la grande veine de Kenzaburô Oé. Densité, richesse d’analyse, foisonnement de l’imagination, violence, émotion : toutes les qualités du Prix Nobel se trouvent réunies.

 

 

Biographie de l’auteur

Kenzaburô Ôé est né en 1935 dans l’île de Shikoku au Japon. Il étudie la littérature française et soutient une thèse sur Jean-Paul Sartre. Ses premiers textes paraissent dans les années 1950. En 1958, il reçoit le prix Akutagawa, l’équivalent du prix Goncourt, pour Gibier d’élevage, adapté au cinéma par Nagisa Oshima sous le titre Une bête à nourrir. Seventeen paraît en 1961. Inspirée par l’assassinat du chef de fil du parti socialiste par un militant d’extrême droite de dix-sept ans, cette nouvelle évoque le Japon du début des années 1960 avec la recrudescence de l’ultranationalisme du parti impérial. En 1964, la naissance de son fils, handicapé, bouleverse sa vie comme son univers romanesque. Il s’inspire de ce drame dans un livre déchirant, Une affaire personnelle, récit des trois jours qui suivent la naissance de cet enfant. Dans les années 1980, Kenzaburô Ôé s’intéresse à la littérature latino-américaine et séjourne au Mexique où il enseigne à l’université. Il reçoit le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre en 1994. Écrivain original qui rejette le système des valeurs de la société existante et reflète les interrogations et les inquiétudes de la génération d’après-guerre, Kenzaburô Ôé incarne la crise de conscience d’un pays emporté par la fuite en avant.

La Tombe des lucioles – Akiyuki Nosaka

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Présentation de l’éditeur

Avant de devenir le célèbre dessin animé de Takahata Isao,
La Tombe des lucioles est une oeuvre magnifique et poignante de l’écrivain Nosaka Akiyuki. L’histoire d’un frère et d’une soeur qui s’aiment et vagabondent dans l’enfer des incendies tandis que la guerre fait rage ; une histoire qui est celle que Nosaka vécut lui-même, âgé de quatorze ans, en juin 1945. Le traducteur, Patrick De Vos, décrit son écriture comme un brassage de toutes sortes de voix, de langues, la plus vulgaire comme la plus classique, où se déverse par coulées enchaînées les une aux autres le flot ininterrompu des images.  » Ce sont ces images que l’illustrateur Nicolas Delort fait naître, avec un réalisme stupéfiant, elles restituent toute la profondeur dramatique de cette période, la tendresse des liens qui unissent les deux enfants, l’intensité poétique et visionnaire du texte de Nosaka. Un accord texte-images d’une déchirante beauté.

La pierre et le sabre et La parfaite lumière – Eiji Yoshikawa

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Présentation de l’éditeur

Dans le Japon du XVIIe siècle, le jeune Takezó devient le samouraï Miyamoto Musashi et n’a plus qu’un seul but : tendre à la perfection. Dépasser ses sentiments et persévérer pour s’améliorer, se perfectionner et parvenir à comprendre le sens profond de la vie en développant son art, l’art du combat. Duel après duel, il crée son propre style. Son parcours initiatique, mariant aventures, amour et quête de soi, nous entraîne dans une grande fresque épique. Un chef-d’œuvre !

Biographie de l’auteur

Né au Japon en 1892, il publie à vingt ans ses premiers textes dans des revues de Tokyo. Sa carrière littéraire féconde fera de lui l’un des plus grands romanciers japonais du XXe siècle. Eiji Yoshikawa meurt en 1962, couvert de gloire.

Le poids des secrets – Aki Shimazaki

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Biographie de l’auteur

D’origine japonaise, Aki Shimazaki vit à Montréal. Wasurenagusa est le quatrième volet de sa pentalogie Le Poids des secrets, qui comprend également Tsubaki (Babel n° 712), Hamaguri (Babel n° 783), Tsubame (Babel n° 848) et Hotaru (à paraître prochainement en Babel), prix du Gouverneur général du Canada. Wasurenagusa a reçu le prix Canada- Japon.

Présentation de l’éditeur :

 

Tome 1 : Tsubaki

Dans une lettre laissée à sa fille après sa mort, Yukiko, une survivante de la bombe atomique, évoque les épisodes de son enfance et de son adolescence auprès de ses parents, d’abord à Tokyo puis à Nagasaki. Elle reconstitue le puzzle d’une vie familiale marquée par les mensonges d’un père qui l’ont poussée à commettre un meurtre.
Obéissant à une mécanique implacable qui mêle vie et Histoire, ce court premier roman marie le lourd parfum des camélias (tsubaki) à celui du cyanure. Sans céder au cynisme et avec un soupçon de bouddhisme, il rappelle douloureusement que nul n’échappe à son destin.
(suite…)

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