Le blog de Puteaux-Aïkido | culture


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Expositions Japon

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Bonjour à toutes et à tous,

 

2018 est le 160e anniversaire des relations franco-japonaises, à cette occasion plusieurs manifestations en lien avec le Japon sont organisées en France sur la saison 2018-2019.

 

En particulier, il a en ce moment trois expositions intéressantes autour du Japon (attention, deux se terminent en Janvier)

 

 
 
Jusqu’au 14 Janvier 2019
2018 est également le 150e anniversaire de la restauration Meiji cette exposition met en lumière les nombreux bouleversements liés à l’ère Meiji (1868-1912) qui fut une révolution sans précédent pour le Japon comme pour le Monde. 

  

 
 
Jusqu’au 27 Janvier 2019
Rinpa est l’une des écoles majeures de l’art japonais, créée au début de l’ère Edo, ce courant décoratif perdure encore aujourd’hui.
 
 
 
 
 
Jusqu’au 7 Avril 2019
Aujourd’hui encore, la vannerie japonaise en bambou procure à certains de ses créateurs, passés maîtres dans le tressage de la fibre, le prestigieux statut de Trésors nationaux vivants. Rassemblant 160 œuvres, l’exposition raconte l’histoire de cet art méconnu en Occident.
 

 

 

 

N’oubliez pas le stage de Micheline Tissier le samedi 5 janvier. D’ici là, bonne fêtes de fin d’année !

 

Martialement,

Le bureau

9ème Nuit des Arts Martiaux Traditionnels, NAMT15

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La 9ème Nuit des Arts Martiaux Traditionnels aura lieu le samedi 23 mai au Théâtre Dejazet.

 

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Les arts martiaux traditionnels dans un monument historique

Après le magnifique Théâtre de la Madeleine, c’est au prestigieux Théâtre Dejazet que s’installera la NAMT pour son édition 2015. Abrité dans un bâtiment édifié en 1770 où se produisit Mozart, dernier théâtre survivant du Boulevard du crime, nul doute que ce lieu historique sera un écrin idéal pour présenter les traditions martiales.

 

Comme chaque année maintenant, l’AïkiTaïkaï se déroulera en parallèle de la NAMT, le samedi 23 et dimanche 24. Vous pourrez ainsi retrouver dans ce stage ouvert à tous de nombreux experts présents à la NAMT qui vous proposeront une présentation et une initiation à leurs écoles. L’occasion de vivre de l’intérieur les traditions qui vous auront passionné lors des démonstrations. Je posterai les informations détaillées de l’AïkiTaïkaï dans les prochains jours.

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Dates de la MCJP à retenir

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Bonjour à toutes et à tous, la Maison de la Culture du Japon à Paris nous propose régulièrement des événements dont certains pourront intéressés les pratiquants d’aïkido dans leur démarche.

Voici un extrait des prochains événements :

 

Initiation à la voie du sabre

 

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Atelier
Mercredi 29 octobre à 15h et 17h
- Séance de 15h > enfants et adolescents de 8 à 17 ans
- Séance de 17h > adultes
Une pra­ti­que souple et fluide du sabre pour réa­li­ser l’har­mo­nie du corps et de l’esprit. Initiez-vous au manie­ment de base du sabre en bois avec Masato Matsuura, expert de plu­sieurs arts mar­tiaux dont l’aiki et l’iaï (art de dégai­ner le sabre et de tran­cher en un seul mou­ve­ment).
Chaque séance est limi­tée à 16 per­son­nes. Une tenue adap­tée à toute sorte de mou­ve­ments est recom­man­dée.

 

http://www.mcjp.fr/francais/ateliers/initiation-a-la-voie-du-sabre/initiation-a-la-voie-du-sabre

 

 

Porcelaine de Kiyomizu et cuisine japonaise

 

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Démonstration culinaire
Samedi 8 novembre à 13h
Dans la cuisine japonaise, la vaisselle est aussi importante que les aliments. Les Japonais choisissent les couleurs, les formes et les matières des assiettes et autres récipients en fonction des mets, de la saison, du moment. L’harmonie entre ces éléments sublime la beauté de la cuisine japonaise. À Kyôto s’est développé un type de porcelaine de grande qualité et aux styles variés pouvant accompagner toutes sortes de mets. Raffinée, ornée d’audacieuses combinaisons de couleurs et de motifs, cette porcelaine de Kiyomizu est appréciée des cuisiniers, des gastronomes et de beaucoup de Japonais. La démonstration sera suivie d’une petite dégustation. 
Des porcelaines de Kiyomizu seront exposées dans le hall d’accueil (rez-de-chaussée) du 4 au 8 novembre.

 

http://www.mcjp.fr/francais/ateliers/porcelaine-de-kiyomizu-et-cuisine/porcelaine-de-kiyomizu-et-cuisine

 

 

Le shinnai-bushi, un art d’Edo qui a du chic
Spectacle
Jeudi 13 et vendredi 14 novembre à 20h
Écouter des histoires d’amours tragiques racontées au son du shamisen était un plaisir raffiné très apprécié au 18e siècle des habitants d’Edo (ancien nom de Tôkyô). Ce spectacle vous propose de découvrir l’un de ces styles de musique narrative, leshinnai-bushi, apparu à Edo vers 1760. Son répertoire est avant tout mélancolique et sensuel, même s’il existe aussi un registre comique. Ses interprètes – généralement un récitant et deux joueurs de shamisen – animaient souvent les banquets auxquels étaient conviées des geishas. C’est ainsi qu’il se distingue d’un autre style de musique pour récitant, le gidayu-bushi d’Ôsaka qui accompagne le théâtre de marionnettesbunraku.

Le réci­tant Tsuruga Wakasanojo, Trésor natio­nal vivant, est à la tête de l’école Tsuruga de shin­nai. Ayant à coeur de faire décou­vrir son art à un large public, il mul­ti­plie les col­la­bo­ra­tions entre shin­nai et d’autres arts de la scène. Pour ce spec­ta­cle à la MCJP, il pré­sente plu­sieurs facet­tes du shin­nai-bushi : Ranchô, une célè­bre pièce tra­gi­que dans laquelle une femme ren­contre la geisha dont son mari est épris ; une pièce mêlant chant shin­nai et danse tra­di­tion­nelle ; enfin, une pièce comi­que pourHachiôji-kuruma ningyô, forme de théâ­tre pour marion­net­tes dont la par­ti­cu­la­rité est que chaque mani­pu­la­teur est assis sur un siège à rou­let­tes. Une belle intro­duc­tion à un art qui fai­sait la fierté d’Edo.

 

http://www.mcjp.fr/francais/spectacles/le-shinnai-bushi-un-art-d-edo-qui/le-shinnai-bushi-un-art-d-edo-qui

Présentation du Fipam

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Le FIPAM est une association à but non lucratif, crée par Thierry Plée (directeur de BUDO Editions), dont l’objectif est de préserver la mémoire et la culture des arts martiaux.


Il a les projets suivants:

– Collecter des archives et des objets quelles que soient leur époque.

– Création d’un Musée des arts martiaux.

– Partager le savoir par l’organisation de colloques.

– Transmettre la connaissance via un centre d’enseignement.

– Aider les anciens professeurs par un soutien humain et matériel.

– Publication d’un bulletin de nos activités.

 

Vous pouvez voir leu site à cette adresse :

Web: www.fipam.org

 

Egalement sur Twitter et Facebook

Twitter: http://twitter.com/#!/FIPAMparis

Facebook: http://www.facebook.com/pages/Fonds-International-pour-la-Pr%C3%A9servation-des-Arts-Martiaux/178623415514900

 

Bonne chance a eux.

SANKAI JUKU au théâtre de la ville du 2 au 11 mai 2013

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USHIO AMAGATSU CHORÉGRAPHE
SANKAI JUKU CIE

UMUSUNA (2012)  création

 

Mémoires d’avant l’Histoire

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TRANSE DOUCE ET MÉTAMORPHOSE
Au-delà de sa silhouette talquée, de son crâne rasé, reproduits à l’identique par ses danseurs tous masculins, les mises en scène de Ushio Amagatsu avec Sankai Juku sont autant de rituels aiguisés, au sein desquels une gestuelle fluide et chargée possède l’impact d’une bombe à irradiation lente. Une transe douce, celle de la métamorphose permanente des corps reliés au vivant dans sa dimension la plus large.

 

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Quartier lointain – Jirô Taniguchi

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Présentation de l’éditeur

Ce jour d’avril 1998, un homme s’apprête à prendre le train pour rentrer chez lui, à Tôkyô. Il s’appelle Hiroshi. C’est un cadre d’entreprise comme le Japon en produit des milliers. La bouche légèrement pâteuse et la tête lourde – il a encore trop bu la veille lors d’un repas d’affaires –, cet homme de 48 ans a rendez-vous avec son destin. Car le train qu’il prend n’est pas le bon : sans l’avoir fait exprès, il se retrouve à bord d’un express qui se dirige tout droit vers sa ville natale. À l’arrivée, avant de repartir à destination de Tôkyô, Hiroshi décide de faire un tour dans les rues où il a grandi, devenues méconnaissables. Dans le petit cimetière où est enterrée sa mère, il s’assoupit quelques minutes. Mais à son réveil, il constate avec une surprise mêlée d’effroi qu’il vient d’effectuer un bond dans le passé. Il se trouve en effet projeté à l’époque de son adolescence, et doit désormais vivre dans l’enveloppe corporelle qui était la sienne à l’âge de 14 ans. ! Mais ses souvenirs, sa mémoire et ses capacités intellectuelles sont restés ceux d’un homme de 48 ans… Hiroshi va alors revoir ses parents et ses amis d’école. Et bien qu’il craigne de bousculer sa propre histoire d’homme adulte et de « fausser l’avenir », il décide de comprendre enfin pourquoi son père est parti un jour loin de chez lui, abandonnant sa femme et ses deux enfants. En revivant ses quatorze ans, il ne va pas seulement épater ses copains en leur prédisant les événements à venir. Plus fondamentalement, il va tenter d’infléchir le cours de son histoire familiale et découvrir que « l’enfant que nous avons été est toujours là, bien vivant tout au fond de nous… ». Coûte que coûte, il décide d’empêcher son père de disparaître de la vie familiale…

 

             

Biographie de l’auteur

Jirô Taniguchi est né le 12 août 1947 à Tottori. Il débute dans la bande dessinée en 1970 avec Un Été desséché. De 1976 à 1979, il publie, avec le scénariste Natsuo Sekikawa, Ville sans défense, Le Vent d’ouest est blanc et Lindo 3. Puis ils s’attaquent, toujours ensemble, aux cinq volumes d’Au temps de Botchan. À partir de 1991, Jirô Taniguchi signe seul de nombreux albums, dont L’Homme qui marche, Le Journal de mon père, Quartier Lointain ou encore Terre de rêve, publiés par Casterman. En 2004 paraît L’Orme du Caucase, un recueil de nouvelles adaptées de l’œuvre de Ryûchirô Utsumi. L’Homme de la toundra, son nouvel opus, sort dans la collection Sakka en 2006.
Le premier volume de Quartier Lointain a remporté, lors du Festival d’Angoulême 2003, l’Alph’Art du meilleur scénario. Il a également reçu le prix Canal BD des librairies spécialisées.

Un cri d’amour au centre du monde – Kyoichi Katayama

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Qu’advient-il de l’amour quand l’être aimé disparaît ?
Sakutaro et Aki se rencontrent au collège dans une ville de province du Japon. Leur relation évolue de l’amitié à l’amour lorsqu’ils se retrouvent ensemble au lycée. En classe de première, Aki tombe malade. Atteinte de leucémie, elle sera emportée en quelques semaines.
Sakutaro se souvient de leur premier baiser, de leurs rendez-vous amoureux, du pèlerinage en Australie entrepris en sa mémoire. Quel sens donner à sa souffrance ? Comment pourrait-il aimer à nouveau ?

Puissant et pudique à la fois, le roman de Kyoichi Katayama est devenu au Japon un véritable phénomène de société, le plus grand best-seller de tous les temps, adapté au cinéma, et sous forme de manga.

Arrachez les bourgeons, tirez sur les enfants – Ôé Kenzaburô

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Quatrième de couverture

Pendant la Seconde Guerre mondiale, des enfants d’une maison de correction fuient les bombardements et se réfugient dans un village de montagne. Leur éducateur les place sous l’autorité d’un maire convaincu qu’un mauvais enfant doit être supprimé «dès le bourgeon». Le jeune narrateur et son petit frère font partie de ce groupe de délinquants bientôt à la merci des villageois haineux, qui les contraignent à enterrer des animaux victimes d’une épidémie. Quand trois personnes meurent, contaminées, les villageois, pris de panique, abandonnent le village en y enfermant les enfants, qui prennent possession des maisons désertées et esquissent même les règles d’une vie en société. Temps suspendu, unique dans cette histoire de bruit et de fureur, où s’expriment les douceurs de la fraternité et les joies d’un premier amour. Malgré la présence d’un jeune Coréen et d’un soldat déserteur qui tentent de les aider, l’affrontement avec les villageois de retour ne pourra être évité.Cette impressionnante fable sociale écrite en 1958 appartient à la grande veine de Kenzaburô Oé. Densité, richesse d’analyse, foisonnement de l’imagination, violence, émotion : toutes les qualités du Prix Nobel se trouvent réunies.

 

 

Biographie de l’auteur

Kenzaburô Ôé est né en 1935 dans l’île de Shikoku au Japon. Il étudie la littérature française et soutient une thèse sur Jean-Paul Sartre. Ses premiers textes paraissent dans les années 1950. En 1958, il reçoit le prix Akutagawa, l’équivalent du prix Goncourt, pour Gibier d’élevage, adapté au cinéma par Nagisa Oshima sous le titre Une bête à nourrir. Seventeen paraît en 1961. Inspirée par l’assassinat du chef de fil du parti socialiste par un militant d’extrême droite de dix-sept ans, cette nouvelle évoque le Japon du début des années 1960 avec la recrudescence de l’ultranationalisme du parti impérial. En 1964, la naissance de son fils, handicapé, bouleverse sa vie comme son univers romanesque. Il s’inspire de ce drame dans un livre déchirant, Une affaire personnelle, récit des trois jours qui suivent la naissance de cet enfant. Dans les années 1980, Kenzaburô Ôé s’intéresse à la littérature latino-américaine et séjourne au Mexique où il enseigne à l’université. Il reçoit le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre en 1994. Écrivain original qui rejette le système des valeurs de la société existante et reflète les interrogations et les inquiétudes de la génération d’après-guerre, Kenzaburô Ôé incarne la crise de conscience d’un pays emporté par la fuite en avant.

La Tombe des lucioles – Akiyuki Nosaka

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Présentation de l’éditeur

Avant de devenir le célèbre dessin animé de Takahata Isao,
La Tombe des lucioles est une oeuvre magnifique et poignante de l’écrivain Nosaka Akiyuki. L’histoire d’un frère et d’une soeur qui s’aiment et vagabondent dans l’enfer des incendies tandis que la guerre fait rage ; une histoire qui est celle que Nosaka vécut lui-même, âgé de quatorze ans, en juin 1945. Le traducteur, Patrick De Vos, décrit son écriture comme un brassage de toutes sortes de voix, de langues, la plus vulgaire comme la plus classique, où se déverse par coulées enchaînées les une aux autres le flot ininterrompu des images.  » Ce sont ces images que l’illustrateur Nicolas Delort fait naître, avec un réalisme stupéfiant, elles restituent toute la profondeur dramatique de cette période, la tendresse des liens qui unissent les deux enfants, l’intensité poétique et visionnaire du texte de Nosaka. Un accord texte-images d’une déchirante beauté.

La pierre et le sabre et La parfaite lumière – Eiji Yoshikawa

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Présentation de l’éditeur

Dans le Japon du XVIIe siècle, le jeune Takezó devient le samouraï Miyamoto Musashi et n’a plus qu’un seul but : tendre à la perfection. Dépasser ses sentiments et persévérer pour s’améliorer, se perfectionner et parvenir à comprendre le sens profond de la vie en développant son art, l’art du combat. Duel après duel, il crée son propre style. Son parcours initiatique, mariant aventures, amour et quête de soi, nous entraîne dans une grande fresque épique. Un chef-d’œuvre !

Biographie de l’auteur

Né au Japon en 1892, il publie à vingt ans ses premiers textes dans des revues de Tokyo. Sa carrière littéraire féconde fera de lui l’un des plus grands romanciers japonais du XXe siècle. Eiji Yoshikawa meurt en 1962, couvert de gloire.

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